Firoanime, Fyos

• Physionomie

J'ai un physique peu commun. Je suis beaucoup plus grand que la moyenne, mesurant six pied trois, et mes cheveux sont d'un rouge braise, et le pire, c'est que je suis né avec cette couleur. Mes yeux sont d'une couleur verte pomme, mais ils changent de couleur selon mon humeur. Bleu quand je suis heureux, mauve pour anxieux, noir quand j'ai peur, quoique ca n'arrive que très peu souvent et pour finir, rouge quand je suis en colère. Pourquoi ça fait çà? Aucune idée, et à vrai dire, je m'en fou, je suis moi et je m'aime comme ça, ceux qui n'aime pas, qu'ils aillent au diable.

• Vêtements

Je porte absolument de tout, des jeans et T-Shirt aux complets veston avec cravate. Je ne porte toutefois pas de linge de femme. Même si je porte de tout, j'ai une préférence pour les vêtement noir, surtout aux allure gothique. Ces temps-ci je porte un long manteau noir en dessous du quel se trouve un t-shirt à manche déchiré aux épaules, une paire de pantalon de couleur noir délavé, des bracelet, noir aussi, mais avec des pierre rouge incrusté, des botte grise et une ceinture triple de couleur argentée et noire.

• Autres

J'ai trois boucle d'oreille à l'oreille gauche.

• Histoire

12 mars 1975, jour de fête pour mes parents, et aussi très important pour moi. Pourquoi? Pour moi, parce que c’est le jour où je suis né, pour mes parents, parce qu’ils avaient enfin un héritier pour leur entreprise d’informatique, avant leur entreprise Informatique de ‘’façade’’, puisqu’ils contrôlaient plutôt le commerce de balais en tout genre, après plusieurs essais infructueux.

La maisonnée quitta le deuil dans lequel elle s’était vautrée, celui des enfants mort-né avant moi, et commencèrent à s’animer, à s’occuper de moi. Mes parents me nommèrent Fyos, en l’honneur de mon arrière grand-père, grâce a qui nous avons mainmise sur le commerce de balais, Axel, en l’honneur de mon père, Syonisus, le nom de famille de ma mère, Firoanime, celui de mon père. C’est long comme nom, non? Normalement on ne m’appelle que Fyos ou Axel. En tout cas, la maison s’illumina en peu, depuis deux ans qu’elle était en deuil, et retrouva de ses couleurs. On fit une chambre pour moi, et j’avais des nourrisses pour s’occuper de moi, mes parents ayant trop à faire pour ‘’perdre leur temps’’ à s’occuper d’un rejeton.

Je vécu les quatre premières années de ma vie sans voir mes parents, enfin presque. Ils m’avaient donné un petit frère, Alecius, qu’on appelait tout simplement ‘’Alec’’, dont j’étais de deux ans l’ainé, et essayait en vain d’avoir un autre enfant, une fille de préférence. Moi? Après les nourrisses, j’avais maintenant plusieurs précepteur, qui s’occupais de me transmettre tout ce qu’un Dirigeant devrait savoir. Comme d’habitude, mes parents s’occupaient plus de mon petit frère que moi-même, même si ca ne me dérangeait pas, on s’y habitue à la longue.

Les précepteurs m’apprirent plusieurs choses, entre autre les langues, j’en maitriserais plus de vingt, plus tard, le calcul, l’histoire, entrepreneuriat et un petit peu de magie. J’étais maintenant âgé de 6 ans, et apprendre tout ça, c’était quelque chose pour un petit enfant comme moi. Je m’enfonçais dans la déprime, la dépression, lorsqu’un autre évènement heureux arriva. Ma mère avait mis au monde un autre petit rejeton, une petite fille appelé Sara Rosalys.

Alors que je me tenais devant son berceau, aux côtés de ma mère et mon père, la petite tendis ses mains non vers mes parents, mais vers moi, alors qu’elle ne m’avait jamais vu. J’allais m’approcher lorsque mon père me barra le chemin, m’interdisant d’avancer. La petite se mit alors à pleurer, ce qui déconcentra mon père, que je bousculais en m’élançant vers le berceau.

Au moment même où je la pris dans mes bras, Sara cessa de pleurer, me regardant attentivement de ses grands yeux verts. Je lui souris tendrement, et ce fut à partir de ce moment que nous ne nous quittions plus. Je me fis son défenseur et lorsque je n’étais pas près d’elle, elle pleurait, elle m’accompagnait donc dans mes cours, jouant dans un coin pendant que j’étudiais. Ça dura ainsi cinq ans. Alors âgé de onze ans, il était temps pour moi d’aller à Poudlard, afin de ‘’devenir un bon sorcier’’ comme disait mon père. Nous reçûmes la lettre de l’école peu de temps après mon onzième anniversaire, et pas longtemps après, nous étions au chemin de traverse, en train d’acheter mes effet scolaire.

Et finalement, en septembre, je pris le train pour me rendre à l’école de sorcellerie, ou j’appris nombre et nombre de chose, j’en ressortis en tant que sorcier accomplis, et reprit les rênes de la compagnie de mes parents, me trouva une femme et vécut heureux jusqu’à la fin de mes jours… Enfin, ca aurait du se passer comme ça, non? Et bien, ca ne fut pas le cas. Ça fut encore pire.

Un Vendredi 13 juin, jour à jamais gravé dans ma mémoire, alors que je rentrais d’une randonnée pédestre avec un oncle, nous découvrîmes l’horreur. Dans notre manoir, les trente et un membre de la maisonnée avait été tués, vraisemblablement par le Avada Kedavra. La peur me prit à la gorge, tandis que j’avançais parmi les cadavres, seul, mon oncle étant parti appelé le ministère. J’ouvris la porte de la salle à manger, et j’y trouvais, étendus par terre, les corps sans vie de mes parents. Je ne leur accordais pas un regard, pas maintenant, une peur plus grande me tenaillait, où était donc mon petit frère et ma petite sœur?!?

Je fouillais le manoir au complet, complètement paniqué. Je terminais par ma chambre et, plein d’espoir, j’ouvris la porte a la volée et j’y trouvais… rien. Elle était vide, pas la moindre trace de présence humaine. Apeuré , extrêmement apeuré, je me préparais à fermer la porte lorsque j’entendis un hoquet, suivis d’un reniflement, comme si quelqu’un retenais ses larmes. Ça provenait du placard. Lentement, prudent, je m’approchais, et j’ouvris la porte. Ce que j’y vis me fit pleurer de joie et de tristesse en même temps. Sara s’y trouvait, pleurant toute les larmes de son corps. Lorsqu’elle me vit, elle me sauta dessus, me serrant fort dans ses bras, en murmurant mon nom. Ce fut la dernière fois que j’entendis sa voix…

Selon les Aurors, c’était une attaque des Mangemort afin de mettre mains sur la fortune de ma famille. Comme d’habitude, c’était du meurtre gratuit. Le corps de mon petit frère n’a pas été retrouvé, ils ont supposé qu’ils se sont un peu trop amusé avec, avant de le faire disparaitre. Compte rendu? Sara était l’unique survivante, mes parents l’avaient caché dans le placard, avec mon petit frère, les trace le disent, il a du sortir, avant d’essayer d’arrêter les Mangemort. Je suis content de savoir qu’au moins leur dernier geste aura été de protégé leurs enfants.

Sara n’a pas reparlée depuis cet évènement, le choc l’a rendue muette. Et ce, depuis maintenant 5 ans. L’entreprise avait été reprise par mon oncle et ma tante, jusqu’à ce que je sois prêt à reprendre les rênes, c’est-à-dire a la fin de mes études, même si cette perspective ne m’enchante guère, même si finalement j'ai dû m'en occuper à partir de ma troisième année, car mon oncle ne savait pas le faire correctement. Je suis aujourd’hui en Sixième année, que je vais débuter bientôt. Ma sœur se trouve avec mon oncle et ma tante, elle ne montre toujours pas de signe de magie, malgré qu’elle ait dix ans, et n’a toujours pas reparlé.

Et moi, qu’est-ce que je deviens? Je recherche des Mangemorts, afin de retrouver ceux derrière cette hécatombe, pour les faire souffrir comme ils ont fait souffrir ma sœur.

Maison :
Serpentard
Baguette :
Bois de Sequoia, souple, 33,5 centimètre, avec plume de phénix teinté de sang de dragon. D'une couleur noir foncé, avec un manche plus clair. Un petit rubis est incrusté dans le pommeau de la baguette.
Animal de compagnie :
Un chat noir nommé Lux qui se promène où il veut quand il veut. Un hibou noir nommé Faï.
Année :
6ème année.
Emploie :
Je travaille à temps partiel dans une boutique de balais, si le boss savait que son employé est son boss...
Relations :
La seule personne que j'ai est ma petite sœur, je n'ai ni amis, ni parents proche de moi que j'aime.
Compte en Banque :
J'ignore combien j'en ai, mais je n'en manque pas, étant propriétaire du marché du balais volant... Vous voulez absolument un chiffre? Plus de 100 000 gallions, facilement.
Objets en possession :
Les objets nécessaire aux élèves de sixième année contenu dans mon sac à bandoulière, ainsi qu'une dague caché dans un étui accroché à ma ceinture. Je possède aussi toute sorte de Katana dans mon manoir.
Sorts connus :
Tout les sorts qu'un élève de sixième année est sensé connaître, et quelque sorts que j'ai appris par moi-même
Pouvoir magique :
(Outre ses pouvoirs d'ange, qu'il ne connait pas encore) Je possède une faculté étrange, mais qui m'est très utile. Je suis doué d'une capacité de mimétisme parfaite. Elle me permet d'apprendre un sort, un mouvement d'art martial, ect, tout simplement en les regardant.
Capacités :
Je n'ai pas vraiment de difficulté, n'ayant pas vraiment d'amis, je passe mon temps à étudié lorsque je n'ai rien à faire.